Pendant ces trois mois de résidence, Louise développe des recherches sur le design en tant qu’objet social et la manière dont il influence les comportements.
Majoritairement androcentré et à destination d’une part de la population blanche, valide et aisée, le design du quotidien (de l’urbanisme à l’objet) représente et entretient les rapports de domination et d’oppression présents dans la société.
Comment alors favoriser l’appropriation de l’espace et des outils du quotidien par les personnes discriminées, précarisées, handicapées … tout en intégrant la chaîne du réemploi à l’échelle locale ?
En parallèle, un travail de restitution de ces savoirs via des vidéos, posts illustrés et autres médiums sera effectué dans une démarche d’éduc pop et d’accessibilité des connaissances.